Nous avons eu la chance de pouvoir témoigner de notre expérience dans le journal de la paroisse : les Parvis. C’est donc le 11 octobre 2015 que nous avons découvert cet article !
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Durant nos années de Compagnons, nous effectuons deux projets principaux : un en fin de premier temps et un en fin de deuxième temps. Ce sont des expériments.
Mais cela ne nous empêche pas d’avoir d’autres projets moins conséquents au cours de l’année !
Nous avons eu la chance de pouvoir témoigner de notre expérience dans le journal de la paroisse : les Parvis. C’est donc le 11 octobre 2015 que nous avons découvert cet article !
Qu’il pleuve ou qu’il vente, on mangera toujours la même chose en France. Avec l’hiver arrive la soupe, l’été préfère les fraises et les salades. Excepté le faible pouvoir des saisons donc, notre assiette est devenue indépendante. Elle se fiche du climat, du soleil, du ciel. La pluie, c’est le linge à rentrer, la prudence sur les routes, l’envie de rester chez soi. On ne l’aime pas beaucoup ; elle nous plaît quand, bien au chaud dans son lit, on l’entend tomber vainement sur le toit.
Une autre culture c’est une nouvelle vision du monde. Nouvelle vision des gens, de la société, de la vie, du climat. Nous ne verrons jamais la pluie comme la voient les Burkinabès. A Nasséré, village où nous avons passé trois semaines, le ciel a gardé ses droits.
Le 13 juillet nous arrivons tous les quatre à Ouagadougou. Raymond, que nous connaissons par le père de Floriane, vient nous chercher à l’aéroport avec des amis. Nous montons dans la voiture, pour moi l’atterrissage commence.
Ce sont mes premiers moments burkinabè, je sais que je dois les vivre pleinement car il n’y a pas deux « premières fois ».
Nous avons noué un partenariat avec le Comité de Jumelage Montivilliers-Nasséré afin de concrétiser notre projet dans la province du Bam au Burkina-Faso.
Voici quelques infos sur le Burkina-Faso, un des pays les plus pauvres du monde, au coeur de l’Afrique de l’Ouest.
Nous montons ce projet de solidarité depuis bientôt deux ans et … le départ approche ! Destination Burkina-Faso 🙂
Mais pour que notre projet se concrétise réellement, pour que nous puissions partir un mois aider des Burkinabés, nous avons besoin de VOTRE aide 😉
En bas de la falaise, on aperçoit une petite crique, elle a l’air vraiment bien sympathique, on s’approche en se disant qu’on va s’y poser quelques instants, ne profiter pour se baigner tranquillement … Mais lorsqu’on s’en approche, on découvre avec horreur que cette plage est très sale, des détritus en tous genres jonchent le sol … J’imagine que ceci est déjà arrivé à plus d’un !
C’est pourquoi nous avons décidé de consacrer quelques demi-journées au nettoyages des plages !
Pays en voie de développement, le Burkina Faso vit essentiellement de l’agriculture. Il évolue aujourd’hui dans une ambivalence permanente entre tradition et modernité. Le pays s’urbanise mais les chefferies jouent encore un rôle important dans les affaires politiques. Le niveau de vie reste bas, l’espérance de vie courte et le taux d’alphabétisation faible.
C’est peut-être la plus grande force de la jeunesse : en apprenant ça nous n’avons qu’une envie : aider.
Les cinq compagnons de l’équipe sont dans la zone protégée de la pointe des poulains en train d’arracher des plantes …
UN PASSANT – Mais que faites vous donc ?
LES COMPAS – Rassurez-vous, nous n’arrachons pas les espèces protégées ! … Nous retirons certaines plantes qui envahissent le littoral et étouffent les autres alors qu’elles n’ont pas d’intérêt particulier dans l’écosystème de l’île et risquent de le bouleverser.
Voici ce que nous avons commencé par faire en arrivant à Belle-île durant quelque jours.